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Potentiel inexploité : travailler ensemble pour offrir de nouvelles possibilités grâce aux bourses d’études
Pourquoi nous avons rédigé ce rapport :
Il arrive fréquemment que le sentiment d’excitation qu’éprouvent les étudiants qui souhaitent entreprendre des études postsecondaires au moment où ils reçoivent leur lettre d’acceptation soit tempéré par des préoccupations d’une toute autre nature. Comment vais-je m’y prendre pour payer cela ? Où puis-je trouver de l’aide ? Vais-je vivre à la maison ou sur le campus ? Puis-je même me permettre d’aller à l’école ?
Les bourses d’études peuvent constituer un moyen de soutien essentiel pour les étudiants en leur permettant de surmonter des obstacles et en ouvrant des portes menant à des débouchés, en les préparant à fréquenter l’école ainsi qu’à aborder l’avenir du travail qui ne cesse d’évoluer rapidement. Cependant, l’écosystème canadien des bourses d’études est fragmenté, alors qu’on ne dispose d’aucune source d’information centralisée et à jour sur la nature des bourses d’études disponibles et précisant qui peut y accéder.
Telle est la raison pour laquelle nous sommes heureux de présenter Potentiel inexploité, un travail de recherche qui examine la situation des bourses d’études au Canada et les possibilités qui s’offrent aux fournisseurs de bourses d’études, aux établissements d’enseignement postsecondaire, aux gouvernements, aux organisations au service des jeunes et aux particuliers, afin de mieux servir les étudiants alors qu’ils quittent l’école secondaire pour accéder, potentiellement, au marché du travail.
Avec ce rapport, nous nous étions fixé pour objectif de bien cerner les aspects à l’égard desquels il n’y avait rien à redire et ceux pour lesquels des améliorations pouvaient être apportées – non seulement en ce qui concerne les offres de RBC, mais également dans le contexte des bourses d’études à travers le Canada. La recherche et les pistes de solutions dont il est fait état aux présentes orienteront désormais Objectif avenir RBC, et nous espérons que d’autres entités et organismes qui appuient les jeunes durant cette délicate transition les menant de l’école secondaire aux études postsecondaires de même qu’au marché du travail se joindront à nous pour prendre les mesures décrites dans le présent rapport. Nous savons que la prospérité de tous les Canadiens est directement liée à notre capacité de préparer les jeunes à réussir et que le fait de surmonter, par le biais de bourses d’études, les obstacles auxquels les jeunes en quête d’équité se heurtent constitue un élément clé de ce casse-tête.
Les bourses d’études, les bourses et les prix peuvent contribuer à aider les jeunes à financer leurs études postsecondaires. Et pourtant, au Canada, nous ne savons que très peu de choses sur l’impact collectif des bourses d’études1 et sur les rôles qu’elles jouent.
Nous savons pertinemment qu’un diplôme d’études postsecondaires augmente le potentiel de revenus d’une personne à long terme, en plus d’être favorable pour notre économie. Cependant, certains groupes de jeunes se heurtent constamment à des obstacles, s’agissant d’accéder à ces fonds, et voient leurs rangs sous-représentés au niveau de l’enseignement supérieur.
Nous devons veiller à ce que tous les jeunes puissent suivre des études postsecondaires, qu’ils aient les moyens de les financer et qu’ils puissent passer plus facilement au marché du travail. Bien que les bourses d’études ne puissent à elles seules résoudre ce problème, elles pourraient jouer un rôle plus important et plus percutant, en faisant en sorte que tous les jeunes disposent du soutien dont ils ont besoin pour accéder à l’éducation postsecondaire et opérer une transition les menant au marché du travail.
Ce que nous souhaitions comprendre
Comment les bourses d’études peuvent-elles mieux appuyer ces transitions et, à leur tour, favoriser la création d’une main-d’œuvre future plus forte ? Telle est la question à laquelle nous nous sommes efforcés de répondre tout au long de cette étude s’échelonnant sur une période d’un an portant sur l’écosystème des bourses d’études au Canada.
Ce que nous souhaitons comprendre :
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À quelle expérience les étudiants2 qui recherchent une bourse d’études, présentent une demande de bourse, puis en obtiennent une sont-ils véritablement confrontés ?
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En quoi les bourses d’études appuient-elles le parcours des étudiants les menant aux études postsecondaires, puis après celles-ci ?
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Quelles solutions peut-on envisager pour rendre les bourses d’études plus accessibles aux étudiants sous-représentés au fil du parcours les menant aux études postsecondaires, puis au marché du travail ?
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Que peuvent faire les établissements, les fournisseurs de bourses d’études, les gouvernements et les organisations d’aide aux étudiants (qui composent, collectivement, l’écosystème des bourses d’études) pour améliorer la création, la délivrance et l’impact des bourses d’études, notamment en ce qui concerne les étudiants sous-représentés ?
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Le Canada ne pourra devenir un pays compétitif à l’échelle mondiale s’il ne dispose pas d’une main-d’œuvre qualifiée et inclusive qui accueille en son sein les jeunes et les valorise. Pour que tel soit le cas, nous devons mettre en place des tremplins menant à des possibilités pour tous les jeunes qui soient à la fois plus solides et plus coordonnés. Il s’agit d’un impératif social et économique, puisque la prospérité future du Canada est tributaire des compétences et des talents des jeunes. Il convient donc d’examiner différentes avenues menant à de tels débouchés, de l’école secondaire aux études postsecondaires et au monde du travail.
Ce parcours sous-tend la façon dont RBC Fondation investit dans les jeunes et comment elle s’y prend pour ce faire. Par le truchement d’Objectif avenir RBC, RBC s’est engagée à fournir, sur 10 ans, une somme de 500 millions de dollars pour aider les jeunes Canadiens à accéder à un emploi valorisant grâce à une expérience de travail, à des possibilités de développement des compétences, à des solutions en matière de réseautage ainsi qu’à des services et à du soutien sur le plan du bien-être mental. Les bourses d’études représentent un outil insuffisamment exploité qui permettrait de mener à de telles possibilités, et c’est précisément des bourses d’études que traite le présent rapport.
Ce que nous avons appris
L’écosystème des bourses d’études est vaste et complexe. Il est difficile pour les jeunes de s’y retrouver et cet écosystème créée encore plus d’obstacles pour les étudiants sous-représentés.
Au Canada, nous connaissons un problème sur le plan des données. En effet, il n’existe aucune source unique qui permet d’évaluer et de comprendre la valeur et l’étendue des bourses d’études disponibles, ou ce qui est accessible aux étudiants.
Le processus de demande peut être long, invasif et dangereux. Les jeunes sont souvent invités à mettre l’accent sur leurs difficultés plutôt que sur leurs forces, leurs atouts et leurs aspirations pour l’avenir.
Les étudiants, et les personnes qui s’en occupent, ne disposent d’aucune indication ou de très peu d’indication sur la façon dont une bourse d’études pourrait avoir une incidence sur l’aide financière aux études consentie par leur gouvernement (c.‑à‑d. qu’elle pourrait faire l’objet d’une récupération). Ils ne savent pas non plus combien d’argent leur procurera une bourse d’études pour laquelle ils pourraient présenter une demande.
Les critères associés aux prix ou aux bourses d’études sont fréquemment étroitement définis. Nous devons repenser la façon dont nous évaluons le mérite et réfléchir aux groupes qui sont inclus et à ceux qui sont laissés pour compte.
Les bourses d’études ont un effet qui va bien au-delà du simple soutien financier. Le regain de confiance que les étudiants éprouvent en sachant que quelqu’un croit en eux, ainsi que les mesures de soutien de nature non financière (c.‑à‑d. le mentorat, l’orientation par rapport au système, le réseautage), peuvent avoir un effet positif et durable.
Il convient de célébrer les pratiques prometteuses, de les amplifier et de les reproduire. Un nombre croissant de programmes canadiens de bourses d’études adoptent une approche plus globale allant au-delà du simple soutien financier, mais davantage de fournisseurs doivent agir de la sorte.
Découvertes importantes
Des millions de dollars sont versés sous forme de bourses d’études, de bourses et de prix en guise de soutien financier fourni par les établissements postsecondaires, ainsi que par d’autres intervenants non gouvernementaux tels que des fournisseurs de bourses d’études et des fournisseurs de services communautaires. Les bourses d’études ont un effet qui va bien au-delà du simple soutien financier. Le regain de confiance que les étudiants éprouvent en sachant que quelqu’un croit en eux, ainsi que les mesures de soutien de nature non financière (c.‑à‑d. le mentorat, l’orientation par rapport au système, le réseautage), peuvent avoir un effet positif et durable. Un nombre croissant de programmes canadiens de bourses d’études adoptent une approche plus globale allant au-delà du simple soutien financier, mais davantage de fournisseurs doivent agir de la sorte. La figure 1 qui suit illustre une structure hiérarchique théorique des mécanismes de soutien offerts par les bourses d’études, du moins exhaustif au plus complet.
Figure 1 : La souplesse, les programmes et la durée peuvent accentuer l’effet des bourses d’études
Cependant, l’écosystème des bourses d’études est vaste et complexe. Il est difficile pour les jeunes de s’y retrouver et cet écosystème créée encore plus d’obstacles pour les étudiants sous-représentés. En effet, il n’existe aucune source unique qui permet d’évaluer et de comprendre la valeur et l’étendue des bourses d’études disponibles, ou ce qui est accessible aux étudiants. Les étudiants, et les personnes qui s’en occupent, ne disposent d’aucune indication ou de très peu d’indication sur la façon dont une bourse d’études pourrait avoir une incidence sur l’aide financière aux études consentie par leur gouvernement (c.‑à‑d. qu’elle pourrait faire l’objet d’une récupération). Ils ne savent pas non plus combien d’argent leur procurera une bourse d’études pour laquelle ils pourraient présenter une demande. La figure 2 présente l’écosystème des bourses d’études tel que le perçoit un étudiant. Il est intéressant de noter que près de la moitié (44 %) des bourses d’études répertoriées dans le cadre de nos deux examens ne sont pas assorties d’une valeur précise. Si les étudiants ne connaissent pas le montant dont ils peuvent disposer, il peut être difficile pour eux de planifier ou d’établir un budget, voire de comprendre même s’il vaut la peine de soumettre une demande.
Figure 2 : Près de la moitié des bourses d’études ne précisent pas le montant des fonds disponibles
Les critères associés aux prix ou aux bourses d’études sont fréquemment étroitement définis. Les critères rigoureux en vertu desquels le mérite est perçu au travers du prisme des notes et, parfois, de la participation aux activités parascolaires ont fait en sorte que seule une catégorie limitée de jeunes talentueux est perçue comme étant « digne » de recevoir une bourse d’études.En outre, le processus de demande peut être long, invasif et dangereux.Les jeunes sont souvent invités à mettre l’accent sur leurs difficultés plutôt que sur leurs forces, leurs atouts et leurs aspirations pour l’avenir. Nous devons repenser la façon dont nous évaluons le mérite et réfléchir aux groupes qui sont inclus et à ceux qui sont laissés pour compte. Dans la figure 3, les analyses portant sur la situation des bourses telle que le perçoivent les étudiants ont révélé que l’octroi de la grande majorité des bourses d’études dépendait des notes et de la participation à des activités parascolaires.
Figure 3 : Du point de vue des étudiants, la plupart des bourses d’études sont de type scolaire (ces bourses étant basées sur le mérite ou étant de forme hybride, tenant compte à la fois du mérite et des besoins financiers)
Joignez-vous à nous pour passer à l’action
Le Canada dispose de systèmes d’enseignement postsecondaire publics éprouvés et de calibre mondial. Pour s’épanouir, ces systèmes et leurs étudiants ont besoin d’investissements gouvernementaux croissants, durables et coordonnés, en plus d’initiatives philanthropiques qui jouent également un rôle, s’agissant de contribuer à l’implantation d’un secteur de l’enseignement postsecondaire prospère. Non seulement ces investissements sont-ils nécessaires pour le bien-être et la réussite de chacun des étudiants considérés isolément, mais également pour le bien-être et la réussite de l’ensemble du pays qu’est le Canada.
Financées par de multiples sources privées et publiques, les bourses d’études peuvent soutenir et soutiennent bel et bien les étudiants qui se heurtent à des obstacles sur leur parcours menant à la réussite – bien qu’en leur état actuel, cet impact est limité au niveau systémique. En accentuant les pratiques prometteuses et en réexaminant la façon dont les sommes consenties se combinent, en interagissant avec les programmes de soutien et d’aide financière aux études gouvernementaux, s’offre l’occasion de faire une grande différence. Considéré dans son ensemble, l’écosystème des bourses d’études importe pour l’avenir des jeunes au Canada ainsi que pour notre économie.
Nous devons intervenir de manière collective afin de veiller à ce que les bourses d’études soient aussi efficaces que possible.
Dans le présent rapport, nous avons identifié un certain nombre de pistes de solutions et nous appelons les intervenants du domaine de l’enseignement postsecondaire à réfléchir à la façon dont ils peuvent contribuer au changement. Collectivement, nous devons travailler ensemble pour agir sur les plans suivants :
Prendre acte du point de vue des étudiants ainsi que des obstacles auxquels ils sont confrontés à l’étape de la conception et de la délivrance des bourses d’études, et en être plus conscients.
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Repenser la façon dont nous évaluons et appréhendons le mérite tout au long du processus relatif aux bourses d’études et mettre en œuvre des meilleures pratiques au chapitre de l’évaluation fondées sur une définition globale qui valorise le mérite des étudiants sous-représentés ;
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Recibler les bourses d’études d’admission automatiques des établissements postsecondaires afin de tenir compte des besoins et des obstacles particuliers ;
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S’employer à intégrer des mécanismes de soutien non financiers et programmatiques aux programmes de bourses d’études – comme en jumelant des étudiants à des mentors, en les aidant à gérer la transition menant aux études postsecondaires et en leur offrant l’accès à un réseau de soutien par les pairs ;
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Envisager la possibilité d’élargir l’admissibilité aux programmes d’intérêt professionnel, comme dans le cas des microcertifications, de l’apprentissage intégré au travail et d’autres possibilités de formation au sein de l’industrie.
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Améliorer la transparence et la clarté pour les jeunes qui tentent de s’y retrouver dans l’écosystème des bourses d’études.
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Fournir de l’information et du soutien à l’égard des bourses d’études plus tôt dans le parcours de l’étudiant, et ce, bien avant la 12e année ;
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Doter les jeunes de meilleurs outils, de meilleures ressources et de conseils plus avisés sur la façon de s’y retrouver et de présenter des demandes de bourses d’études et de soutien financier.
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Continuer à développer des pratiques plus inclusives. Élargir la portée des bourses d’études aux jeunes qui sont constamment sous-représentés au niveau de l’éducation postsecondaire.
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Entreprendre un audit sur le plan de l’équité du processus de demande, en examinant leur processus d’examen et d’évaluation, en tenant compte du biais cognitif et des obstacles potentiels, et envisager de donner une formation anti-biais au personnel et aux responsables de l’examen ;
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Recueillir des données meilleures et plus accessibles sur la valeur, l’utilisation et l’application des bourses d’études, ainsi que sur les personnes qui les reçoivent ;
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Célébrer les points forts des étudiants et mettre en place un cadre fondé sur les atouts au niveau des critères sous-tendant les bourses d’études et du processus de demande dans son ensemble.
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Maximiser l’impact collectif des bourses d’études et multiplier les possibilités de collaboration et d’apprentissage entre les fournisseurs.
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Élargir et renforcer les réseaux existants de fournisseurs canadiens de bourses d’études grâce à un soutien opérationnel spécialisé ;
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Évaluer l’impact de leurs bourses d’études et recueillir davantage de données sur les taux de distribution, d’acceptation et de demande des bourses d’études, en plus de s’interroger sur la façon dont ces données pourraient être centralisées et partagées de manière globale à titre de secteur ;
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Travailler ensemble pour fournir aux jeunes et aux prestataires de services un guichet unique sur les bourses d’études disponibles – qui profiterait de données à jour et cohérentes sur la valeur, la durée et le processus de demande ;
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Rendre les critères qui sous-tendent les mécanismes de récupération de l’aide financière aux études des bourses d’études plus transparents, en plus d’en évaluer l’intention et la conception.
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À titre de bailleur de fonds d’organismes qui appuient les jeunes et en tant que fournisseur de bourses d’études, Objectif avenir RBC s’engage à mettre en œuvre les appels à l’action que l’on retrouve dans le présent rapport à court et à long terme. Objectif avenir RBC s’engage également à partager les conclusions et les recommandations avec les principaux intervenants du domaine de l’enseignement postsecondaire, y compris d’autres fournisseurs de bourses d’études, des organismes au service des jeunes, des établissements d’enseignement postsecondaire, des conseillers d’orientation et des éducateurs, de même que les acteurs gouvernementaux.
Cependant, nous ne pouvons accomplir tout cela seuls. Nous avons tous intérêt à donner aux jeunes d’aujourd’hui les moyens nécessaires pour qu’ils puissent accéder aux emplois de demain. Les fournisseurs de bourses d’études, les établissements postsecondaires, les gouvernements, les organisations au service des jeunes ainsi que les personnes doivent agir de manière collective pour veiller à ce que les bourses d’études, les bourses et les prix soient aussi efficaces que possible.
Les bourses d’études peuvent être beaucoup plus utiles pour aider les jeunes à financer leurs études postsecondaires et répondre à leurs besoins croissants. Le présent rapport peut faire office d’appel à l’action nous incitant tous à découvrir le potentiel inexploité des bourses d’études afin de mieux soutenir nos jeunes. Ensemble, nous pouvons faire une différence pour tous les jeunes grâce aux bourses d’études.
Aidez à ouvrir les portes aux jeunes grâce aux bourses d’études
Contribuez à leur avenir social et économique, et vous aiderez le Canada à prospérer.
Dans le présent rapport, l’accent est principalement mis sur les bourses d’études, et le terme « bourses d’études » vise à désigner, sauf indication contraire, les bourses d’études, les bourses et les prix.
Pour les fins de la présente étude, nous avons mis l’accent sur l’expérience des étudiants canadiens de premier cycle.
En collaboration avec CultureFoundry Studios et Medow Consulting
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