À propos de RBC > Salle de presse > Communiqués > Les travailleurs canadiens ne sont pas préparés à composer avec l'incidence financière d'une invalidité
TORONTO, le 20 janvier, 2015 - La plupart des travailleurs canadiens éprouveraient de graves difficultés financières s’ils étaient forcés à arrêter de travailler pour des raisons d’invalidité, selon un récent sondage de RBC Assurances. Trois répondants sur quatre (76 %) croient qu’une invalidité les empêchant de travailler pendant trois mois serait lourde de conséquences sur la situation financière de leur famille, en les contraignant par exemple à s’endetter de manière importante ou à modifier leurs plans de retraite.
Malgré ces inquiétudes, environ le quart seulement des travailleurs canadiens (27 %) ont abordé l’incidence financière qu’aurait une éventuelle invalidité sur leur famille. Cette proportion n’augmente même pas de manière importante chez les travailleurs qui ont mentionné avoir déjà dû s’absenter du travail pour des raisons d’invalidité (33 %).
« L’invalidité de longue durée peut avoir de sérieuses conséquences sur la situation financière d’une personne, y compris sa capacité de couvrir ses dépenses courantes, ses projets de retraite et son épargne-retraite, affirme Mark Hardy, premier directeur, Assurances vie et prestations du vivant, RBC Assurances. Selon des recherches sectorielles, 26 % des Canadiens ne pourraient pas réunir 2 000 $ au cours du prochain mois pour couvrir une dépense imprévue, et plus de la moitié des Canadiens pensent qu’ils se trouveraient dans une situation financière précaire si leur paie était retardée ne serait-ce que d’une semaine. Ces résultats soulignent la nécessité pour les Canadiens de s’assurer d’être suffisamment protégés en cas d’invalidité de longue durée. »
On en parle peu, et on se protège encore moins
Les Canadiens ne prennent pas les précautions nécessaires pour être protégés financièrement en cas d’invalidité. Le sondage de RBC Assurances révèle que seulement 16 % des répondants détiennent une assurance invalidité individuelle outre la protection offerte par leur employeur, le cas échéant. Parmi les travailleurs canadiens n’ayant pas souscrit d’assurance individuelle, le dixième ne sait pas ce qu’est l’assurance invalidité et le quart (22 %) n’a pas réfléchi à l’éventualité d’être frappé d’invalidité.
Épuiser ses ressources financières à la suite d’une invalidité
S’ils devaient arrêter de travailler pour des raisons d’invalidité, la plupart des Canadiens puiseraient dans leur épargne personnelle (34 %) pour régler leurs frais de subsistance. D’autres affirment qu’ils compteraient sur le revenu de leur conjoint ou partenaire (29 %), sur l’aide du gouvernement (19 %) ou sur la vente de placements (16 %). Quinze pour cent des travailleurs canadiens ne savent pas comment ils couvriraient leurs dépenses courantes s’ils étaient frappés d’invalidité.
« La durée moyenne d’un congé d’invalidité supérieur à 90 jours est de deux à trois ans. Les Canadiens devraient se demander : “Ai-je suffisamment d’économies pour couvrir mes dépenses courantes et les factures de soins de santé pendant toute la durée de mon congé d’invalidité ?” La majorité des gens se rendront compte que ce n’est pas le cas. »
« La souscription d’une assurance invalidité individuelle vous assure d’avoir des rentrées de fonds pour compenser la perte de vos revenus », ajoute M. Hardy.
Voici quelques éléments que les Canadiens devraient prendre en considération :
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Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec :
Kiara Famularo, Communications, RBC, 905-606-1481
Greg Skinner, Communications, RBC, 416 294-5579