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La mise en garde que je ferais au jeune que j'étais : ne te lance pas sans réfléchir dans l'aventure de l'accession à la propriété

Acheter une maison exigeant d'importantes rénovations, ne verser qu'une faible mise de fonds, ne pas faire inspecter l'immeuble : telles sont certaines des principales erreurs commises par les acheteurs, selon un sondage de RBC

RBC Banque Royale offre des conseils permettant d'éviter les pièges les plus fréquents qui guettent les acheteurs de maison

RBC Banque Royale offre des conseils permettant d'éviter les pièges les plus fréquents qui guettent les acheteurs de maison

TORONTO, le 29 avril 2013— La majorité (60 %) des Canadiens qui sont propriétaires admettent avoir commis au moins une erreur lors de l’achat d’une maison, selon la 20e Enquête annuelle RBC sur les tendances du marché résidentiel. Invités à citer jusqu’à trois scénarios correspondant aux principales erreurs qu’ils ont commises, les Canadiens ont indiqué avoir acheté une maison nécessitant des rénovations majeures (15 %), avoir fait une mise de fonds insuffisamment élevée (14 %), et avoir omis de faire inspecter l’immeuble (13 %).

« Malheureusement, comme on n’achète sa première maison qu’une fois, il est important d’être bien conseillé afin de ne pas avoir à faire face plus tard à des coûts imprévus, a déclaré Rachel Wihby, directrice, Stratégie d’accession à la propriété, RBC. Les acheteurs potentiels, en particulier les jeunes et les accédants à la propriété, doivent résister à la tentation de conclure de façon précipitée ou sans avoir fait inspecter la maison. »

Parmi les autres erreurs rapportées par les acheteurs de maison, mentionnons un achat trop rapide (11 %) et l’omission de calculer les coûts supplémentaires ou le coût total de la possession d’une résidence (10 %).

Selon le sondage, les jeunes Canadiens qui sont propriétaires de maison (personnes ayant de 18 à 34 ans) ont été plus nombreux que la moyenne des répondants à indiquer qu’ils estimaient avoir fait erreur en ne versant pas une mise de fonds assez élevée (21 %, contre 14 % à l'échelle nationale). De plus, une proportion plus élevée de jeunes Canadiens propriétaires de maison n’avaient pas réfléchi aux besoins futurs de la famille et aux besoins futurs en espace (13 %, contre 8 % à l’échelle nationale).

L’accessibilité et l’épargne nécessaire à la mise de fonds : principales préoccupations des accédants à la propriété
Les « erreurs » mentionnées correspondent à certaines des préoccupations répandues à l’heure actuelle chez les acheteurs potentiels d’une première maison, qui n’ont pas encore concrétisé leur désir parce qu’ils n’en avaient pas les moyens (46 %), ou qui épargnent afin de pouvoir verser une mise de fonds importante (32 %).

Parmi ces acheteurs potentiels, près des deux tiers (62 %) prévoient effectuer une mise de fonds représentant jusqu’à 10 % de la valeur de la maison. La moitié (53 %) ont déclaré qu’il leur faudrait jusqu’à trois ans pour épargner la somme requise pour une mise de fonds. Cet horizon temporel est en accord avec les données publiées dans un communiqué précédent de RBC, où l’on indiquait que 40 % des Canadiens qui prévoient effectuer un achat au cours des deux prochaines années seront des accédants à la propriété.

Mise de fonds : beaucoup d’accédants à la propriété puiseront dans leur compte d’épargne et dans leur REER ou leur CELI
En plus de demander un prêt hypothécaire, les acheteurs potentiels comptent financer l’achat de leur maison en mettant de l’argent dans un compte d’épargne spécialement destiné à cette fin (48 %), en utilisant leur REER (25 %) ou un compte d’épargne libre d’impôt (23 %), ou en reportant certaines dépenses importantes, par exemple des vacances ou l’achat d’une voiture (17 %).

« En général, la décision d’acheter une maison est la plus importante décision financière que l’on prend au cours de sa vie, a ajouté Mme Wihby. Il est donc important de planifier cet achat et de rester maître de ses émotions. Il faut se faire conseiller par un spécialiste à chaque étape du processus, et faire en sorte de disposer d’une marge de manœuvre dans son budget, en cas de coûts imprévus. »

Selon le sondage, les acheteurs potentiels d’une première maison souhaiteraient obtenir un prêt hypothécaire hybride, c’est-à-dire en partie à taux d’intérêt fixe et en partie à taux d’intérêt variable (42 %, contre 29 % à l’échelle nationale), et privilégient les prêts hypothécaires assortis d’une durée de plus de cinq ans (39 %, contre 22 % à l’échelle nationale).

À propos de la 20e Enquête annuelle RBC sur les tendances du marché résidentiel
RBC est le plus grand prêteur hypothécaire au Canada. Par l’entremise de plus de 1 400 conseillers en prêts hypothécaires répartis dans l’ensemble du Canada, RBC a aidé des milliers de Canadiens à trouver une maison. RBC constitue la plus importante source de conseils financiers relatifs à l’achat d’une maison au Canada, et mène des études auprès des consommateurs afin de renseigner les Canadiens sur leurs marchés locaux.

Ce ne sont là que quelques-unes des conclusions de la 20e Enquête annuelle RBC sur les tendances du marché résidentiel, menée par Ipsos Reid du 31 janvier au 8 février 2013. Le sondage annuel en ligne s’intéresse aux attitudes et aux comportements des Canadiens à l’égard de l’achat d’une maison et de l’accession à la propriété. Les résultats proviennent d’un échantillon établi selon la méthode des quotas pondérés, qui vise à équilibrer les données démographiques et à faire en sorte que la composition de l’échantillon reflète celle de la population du Canada, selon les données du recensement. Les échantillons par quotas avec pondération établis au moyen du panel en ligne d’Ipsos fournissent des résultats censés se rapprocher de ceux d’un échantillon probabiliste. Un échantillon probabiliste non pondéré composé de 3 005 Canadiens d’âge adulte, avec un taux de réponse de 100 %, présenterait une marge d’erreur d’environ ± 3 points de pourcentage, 19 fois sur 20. La marge d’erreur est plus grande au sein des régions et des autres sous-groupes de la population sondée.

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Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec :

Raymond Chouinard, Communications, 514 874-6556

Ka Yan Ng, Communications, 416 974-1794

 

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