À propos de RBC > Salle de presse > Communiqués > Les accédants à la propriété devraient poursuivre sur leur lancée malgré un déclin des intentions d'achat de maison au Canada, selon un sondage de RBC
TORONTO, le 26 mars 2013 Quatre Canadiens sur dix (40 %) qui prévoient effectuer un achat au cours des deux prochaines années seront des accédants à la propriété, selon la 20e Enquête annuelle RBC sur les tendances du marché résidentiel.
Les Canadiens adoptent majoritairement une approche attentiste à l'égard de l'achat d'une maison : 15 % seulement sont susceptibles de faire un achat au cours des deux prochaines années, ce qui représente une diminution par rapport à l'an dernier (27 %). Cette baisse de 12 points de pourcentage constitue la plus importante chute d'une année sur l'autre observée dans ce sondage annuel au chapitre de l'intention d'achat.
« Il n'est pas surprenant de constater une attitude plus prudente cette année, ce qui correspond aux prévisions économiques et sectorielles générales. Le printemps particulièrement chaud, les faibles taux et l'anticipation des modifications apportées à la réglementation hypothécaire pourraient avoir incité de nombreux Canadiens à aller de l'avant pour acheter une maison au cours de la première moitié de 2012, déclare Sean Amato-Gauci, premier vice-président, Financement sur valeur nette immobilière, RBC. Les résultats du sondage indiquent que la confiance des acheteurs à l'égard du marché de l'habitation demeure élevée. Les jeunes Canadiens, qui cherchent à acheter leur première maison et souhaitent obtenir des conseils pour y parvenir avec succès, sont un marché particulièrement prometteur. »
La majorité des Canadiens (84 %) croient que l'achat d'une maison ou d'une copropriété constitue un bon investissement. Un peu plus de la moitié des Canadiens croient qu'il est préférable d'acheter une maison maintenant (52 %), bien qu'ils soient moins nombreux à croire que les prix seront plus élevés à la même période l'an prochain (43 %, en baisse par rapport à 47 % en 2012). En 2013, un nombre plus important de Canadiens estiment que le marché actuel de l'habitation est équilibré (40 %, en hausse par rapport à 36 % l'an dernier).
Quels sont les facteurs de découragement des acheteurs ?
Compte tenu des incertitudes qui planent dans le marché
de l'habitation au Canada, la majorité des acheteurs
canadiens recherchent des conseils spécialisés
pour acheter une maison. Les trois quarts des acheteurs canadiens
(76 %) font appel à leur institution bancaire pour
obtenir des conseils hypothécaires , et quatre répondants sur dix (40 %) affirment qu'une banque est leur première source de renseignements pour obtenir des conseils sur le financement d'une maison, que ce soit en s'adressant à elle en personne ou en consultant les sites Web et les calculatrices.
« Avec toute l'ambiguïté présente
sur le marché, les acheteurs canadiens, et particulièrement
les accédants à la propriété,
sont à la recherche de conseils fiables. Un entretien
avec un spécialiste sectoriel, comme un conseiller
en prêts hypothécaires RBC de votre région,
peut atténuer vos préoccupations et guider vos
décisions en matière de financement immobilier,
sans compter que ces spécialistes peuvent vous permettre
d'obtenir d'excellents taux », ajoute M. Amato-Gauci.
Faits saillants pour l'ensemble du Canada :
Les résidents des provinces de l'Atlantique (91 %)
ainsi que du Manitoba et de la Saskatchewan (89 %) sont les
moins susceptibles d'acheter une maison au cours des deux
prochaines années, et les résidents de la Colombie-Britannique
sont les seuls à décrire en majorité
le marché actuel comme un marché acheteur (où
les acheteurs sont avantagés, car le nombre de maisons
à vendre est supérieur au nombre d'acheteurs).
Colombie-Britannique : Les habitants de la Colombie-Britannique sont divisés à parts égales entre ceux qui jugent plus sensé d'acheter une maison maintenant (51 %) et ceux qui croient préférable d'attendre l'an prochain (49 %). Un Britanno-Colombien sur cinq (20 %) affirme être susceptible d'acheter une maison au cours des deux prochaines années, ce qui pourrait s'expliquer par le fait que les résidents de cette province sont les plus nombreux au Canada à prévoir une diminution des prix des maisons au cours de la prochaine année (38 % ; moyenne nationale : 24 %).
Alberta : Même si les intentions d'achat ont chuté par rapport à l'an dernier (22 %, comparativement à 31 %), près de neuf répondants albertains sur dix (89 %) affirment que l'achat d'une maison ou d'une copropriété constitue un bon investissement, une proportion plus élevée que la moyenne nationale (84 %). Près de la moitié des Albertains (49 %) estiment que leur marché actuel de l'habitation est équilibré, comparativement à la moyenne nationale de 40 %.
Prairies : La majorité des résidents du Manitoba et de la Saskatchewan (56 %) affirment qu'il est plus sensé d'attendre l'an prochain pour acheter une maison, ce qui va à l'encontre de la moyenne nationale, où une majorité croit qu'il est préférable d'acheter maintenant compte tenu des prix actuels des maisons et de la conjoncture économique (52 %). Malgré cela, 88 % des répondants affirment que l'achat d'une maison ou d'une copropriété constitue un bon investissement.
Ontario : Bien que la majorité des Ontariens (86 %) n'aient pas l'intention d'acheter une maison au cours des deux prochaines années, ils sont presque aussi nombreux (83 %) à croire que l'achat d'une maison ou d'une copropriété constitue un bon investissement. Compte tenu des prix actuels des maisons et de la conjoncture économique, plus de la moitié des Ontariens (52 %) affirment qu'il est plus sensé d'acheter maintenant, tandis que 48 % préfèrent attendre l'an prochain.
Québec : Bien que la majorité des Québécois sondés (87 %) n'aient pas l'intention d'acheter une maison au cours des deux prochaines années, ils croient que l'achat d'une maison ou d'une copropriété constitue un bon investissement (84 %). Compte tenu des prix actuels des maisons, les Québécois sont divisés presque à parts égales entre ceux qui croient qu'il est plus judicieux d'acheter une maison maintenant (49 %) et ceux qui jugent préférable d'attendre l'année prochaine (52 %).
Provinces de l'Atlantique : Compte tenu des prix actuels des maisons et de la conjoncture économique, les Canadiens des provinces de l'Atlantique sont les répondants les plus enclins à affirmer qu'il est sensé d'acheter une propriété maintenant (64 %) plutôt que d'attendre l'an prochain (36 %). Le taux de confiance en la valeur d'une maison à titre d'investissement demeure élevé dans les provinces de l'Atlantique (81 %), tout juste sous la moyenne nationale (84 %).
À propos des conseils de RBC
sur le marché résidentiel
Les Canadiens peuvent consulter le Centre
d'expertise RBC, ressource en ligne conçue pour
les renseigner sur tous les aspects de l'accession
à la propriété. Les vidéos,
les articles et les calculatrices en ligne que l'on y trouve
peuvent les renseigner sur l'achat d'une maison, qu'il s'agisse
ou non d'un premier
achat, ou sur la rénovation.
Plus de 1 400 conseillers en prêts hypothécaires
de RBC, partout au pays, offrent aux Canadiens des conseils
professionnels gratuits et sans obligation au sujet des produits
et des services hypothécaires de RBC.
À propos de la 20e Enquête annuelle RBC sur
les tendances du marché résidentiel
RBC est le plus grand prêteur hypothécaire au
Canada. Plus importante source de conseils financiers pour
l'achat de maisons au Canada, RBC effectue des études
auprès des consommateurs pour renseigner les Canadiens
sur leurs marchés locaux.
Ce ne sont là que quelques-unes des conclusions d'un
sondage RBC mené par Ipsos Reid du 31 janvier au 8 février 2013. Le sondage en ligne a été
réalisé à partir d'un échantillon
aléatoire de 3 005 Canadiens d'âge adulte. Avec
un échantillon de cette taille, les résultats
sont considérés comme précis à
± 3,0 points de pourcentage près, 19 fois sur
20, comparativement à ce qu'ils auraient été
si l'ensemble de la population canadienne avait été
consultée. La marge d'erreur est plus grande par région
ou sous-groupes de la population sondée. Ces données
ont été pondérées statistiquement
pour assurer que la composition de l'échantillon, par
région et par âge et sexe, reflète celle
de la population canadienne d'après les données
du recensement de 2011.
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Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer
avec :
Raymond Chouinard,
directeur général, Médias et relations
publiques,
RBC, 514 874-6556