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Passer à l'action, mais avec prudence : La majorité des Canadiens estiment que la période actuelle est propice à l'achat d'une maison, mais ils sont moins nombreux à être prêts à passer à l'action, selon un sondage RBC

La vaste majorité des Canadiens estiment toujours sensé l'achat d'une maison et croient que le marché favorise les vendeurs

TORONTO, le 5 avril 2012— Une majorité croissante de Canadiens estiment préférable d'acheter une maison maintenant (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre) (59 %, en hausse de 4 % par rapport à l'an dernier) plutôt que l'an prochain (41 %), selon la 19e enquête annuelle sur les tendances du marché résidentiel de RBC.

En dépit de la conviction qu'il est sensé d'être propriétaire de sa maison, les Canadiens sont légèrement plus nombreux cette année à affirmer qu'il est peu probable qu'ils achètent une maison d'ici deux ans (73 %, en hausse de 2 %). La majorité des Canadiens estiment que l'achat d'une propriété est un bon placement (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre) (88 %, en hausse de 2 % par rapport à l'an dernier), et plus des deux tiers (68 %) croient que la valeur de leur propriété a augmenté depuis deux ans, une proportion semblable à celle de l'an dernier (69 %). Les trois quarts des Canadiens (74 %) croient qu'ils sont bien positionnés pour faire face à une baisse possible des prix des propriétés.

« Les opinions divergent en ce qui a trait au marché de l'habitation ; les Canadiens continuent d'avoir confiance en sa valeur, mais sont quelque peu incertains de l'orientation qu'il prend et ne savent trop quel est le moment idéal pour acheter, a déclaré Marcia Moffat, chef, Financement sur valeur nette immobilière, RBC. Il y a beaucoup d'éléments à prendre en considération lors de l'achat d'une maison. L'accessibilité et l'éventail de propriétés sur le marché, notamment, jouent un rôle important dans le passage à l'action, lorsqu'on est prêt à acheter. »

Les Canadiens croient que le marché favorise maintenant les vendeurs, et s'attendent en plus grand nombre à une stabilisation des prix des propriétés

Selon le sondage RBC, les Canadiens, qui pendant les quatre dernières années estimaient que la tendance (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre) était au marché acheteur, croient maintenant que cette tendance s'inverse. Cette année, plus de Canadiens estiment que le marché actuel avantage les vendeurs, puisque le nombre d'acheteurs est supérieur au nombre de maisons à vendre (27 %, en hausse par rapport à 20 % en 2011). Près de quatre Canadiens sur dix affirment que le marché actuel avantage les acheteurs car le nombre des maisons à vendre est supérieur au nombre d'acheteurs (38 %, en baisse de 2 % par rapport à l'an dernier). Moins de Canadiens estiment que le marché de l'habitation est équilibré (36 %, en baisse par rapport à 40 % l'an dernier).

Moins de la moitié des Canadiens (47 %) croient que les prix des maisons (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre) seront plus élevés à la même période l'an prochain, une proportion en baisse de 5 % par rapport à l'an dernier (52 %), tandis que davantage de Canadiens s'attendent à une stabilisation des prix (30 %, en hausse par rapport à 27 % en 2011). Près de la moitié des répondants (46 %) s'attendent à ce que les taux hypothécaires soient les mêmes l'an prochain, une proportion en forte hausse par rapport à 30 % en 2011. La proportion de répondants qui s'attendent à des hausses de taux, d'autre part, est sensiblement moins élevée (41 %, en baisse marquée par rapport à 60 % en 2011).

« Davantage de Canadiens s'attendent à une stabilité des prix des propriétés et des taux hypothécaires, jusqu'à l'an prochain, a ajouté Mme Moffat. Puisqu'il existe beaucoup d'information disponible à ce sujet, il est important d'obtenir l'avis d'un conseiller en prêts hypothécaires, qui peut vous aider à examiner toutes les options de financement et les coûts de propriété, afin que vous puissiez prendre une décision éclairée. »

La hausse des prix des propriétés et des taux hypothécaires, parmi les principales préoccupations

Les répondants qui prévoient acheter au cours des deux prochaines années se disent préoccupés par la hausse des prix des propriétés (23 %) et des taux hypothécaires (22 %). Parmi leurs autres préoccupations figurent : leur niveau d'endettement actuel (20 %), leur admissibilité à un prêt hypothécaire (19 %), et la possession d'une mise de fonds suffisante (16 %).

Faits saillants pour l'ensemble du Canada :

Colombie-Britannique (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre) : On y trouve un faible écart entre ceux qui croient, compte tenu du prix des maisons et de la conjoncture économique, qu'il est plus sensé d'acheter une maison maintenant (52 %) et ceux qui croient préférable d'attendre à l'an prochain (48 %). Les deux tiers des acheteurs potentiels en Colombie-Britannique (66 %) déclarent qu'ils ne prévoient pas acheter de maison au cours des deux prochaines années, une proportion bien inférieure à la moyenne nationale (73 %).

Alberta (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre) : Les Albertains, plus que partout ailleurs au pays, affirment qu'il est plus sensé d'acheter une maison maintenant (69 %, comparativement à la moyenne nationale de 59 %) que d'attendre à l'an prochain (31 %, comparativement à la moyenne nationale de 41 %). Plus de la moitié des Albertains (55 %) affirment que le marché actuel favorise les acheteurs, une proportion plus élevée que partout ailleurs au Canada (38 %). Cela explique la forte proportion d'Albertains qui ont l'intention d'acheter une maison au cours des deux prochaines années (31 %, par rapport à la moyenne nationale de 27 %).

Provinces des Prairies (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre) : La majorité des résidants du Manitoba et de la Saskatchewan (52 %) croient qu'il est plus sensé d'attendre à l'an prochain que d'acheter une maison maintenant (48 %) ; c'est la seule région qui va à l'encontre de l'opinion répandue à l'échelle nationale, selon laquelle il est préférable d'acheter maintenant (59 %). Un peu moins de la moitié des répondants des provinces des Prairies (48 %) estiment qu'il est préférable d'acheter maintenant. Dans cette région, trois répondants sur cinq (60 %) croient que le marché actuel favorise les vendeurs, une proportion plus élevée que dans toutes les autres régions du pays et deux fois plus élevée que la moyenne nationale (27 %).

Ontario (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre) : Neuf répondants de l'Ontario sur dix (90 %) affirment qu'une maison ou un appartement en copropriété est un bon placement, une proportion plus élevée que dans toutes les autres régions canadiennes. De plus, c'est en Ontario qu'on observe la plus grande proportion de répondants au Canada qui qualifient le marché de l'habitation d'équilibré (39 %, comparativement à la moyenne nationale de 36 %).

Québec (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre) : Les propriétaires québécois, plus que partout ailleurs au Canada, croient qu'ils sont bien positionnés pour faire face à une baisse possible du prix des propriétés (78 %, comparativement à la moyenne nationale de 74 %). En outre, la proportion de Québécois qui estiment qu'une maison ou un appartement en copropriété est un bon ou un très bon placement est élevée (87 %, par rapport à la moyenne nationale de 88 %). La majorité des Québécois croient qu'il est préférable d'acheter une maison maintenant (57 %, une proportion légèrement sous la moyenne nationale de 59 %) plutôt que l'an prochain (43 %, moyenne nationale : 41 %).

Provinces de l'Atlantique (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre) : Les répondants des provinces de l'Atlantique, plus que partout ailleurs au pays, estiment qu'il est plus sensé d'acheter une maison maintenant (68 %, par rapport à la moyenne nationale de 59 %) que d'attendre à l'an prochain (33 %, par rapport à la moyenne nationale de 41 %). Les répondants des provinces de l'Atlantique, dans une vaste proportion, estiment qu'une maison est un bon placement (86 %, comparativement à la moyenne nationale de 88 %). Malgré cela, la majorité des résidants de cette région déclarent qu'il est peu probable qu'ils achètent une maison d'ici deux ans, dans une proportion semblable à la moyenne nationale (73 %).

Les Canadiens peuvent consulter le Centre d'expertise RBC (ouvre un nouvelle fenêtre), ressource en ligne conçue pour les aider à mieux comprendre toutes les questions liées à l'accès à la propriété (ouvre un nouvelle fenêtre). Les vidéos de conseils, les articles et les calculatrices en ligne que l'on y trouve peuvent les renseigner sur l'achat d'une première maison (ouvre un nouvelle fenêtre) ou d'une autre maison, ou sur la rénovation (ouvre un nouvelle fenêtre). Les conseillers en prêts hypothécaires de RBC offrent aux Canadiens des conseils professionnels gratuits et sans obligation au sujet des produits et des services hypothécaires de RBC.

La 19e enquête annuelle sur les tendances du marché résidentiel de RBC
RBC est le plus grand prêteur hypothécaire au Canada. Plus importante source de conseils financiers pour l'achat de maisons au Canada, RBC effectue des études auprès des consommateurs pour renseigner les Canadiens sur leurs marchés locaux. La 19e enquête annuelle sur les tendances du marché résidentiel de RBC a été réalisée par Ipsos Reid du 24 au 30 janvier 2012. Les résultats proviennent d'un échantillon établi selon la méthode des quotas pondérés afin d'assurer que sa composition reflète celle de la population du Canada selon les données du dernier recensement. Les échantillons par quotas avec pondération visent à fournir un échantillon probabiliste approximatif. Un échantillon aléatoire non pondéré composé de 2 006 Canadiens d'âge adulte, avec un taux de réponse de 100 %, aurait une marge d'erreur de ± 2 %, 19 fois sur 20. La marge d'erreur est plus grande par région ou sous-groupes de la population sondée.

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