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Frappés par l'inflation, les consommateurs Canadiens reportent leurs projets de vacances, révèle L'indice RBC des perspectives de consommation au Canada

Les dettes personnelles des Canadiens s'élèvent en moyenne à 13 000 $

TORONTO, le 20 juillet 2011—  Les Canadiens reportent leurs projets de vacances, comparent les prix des aliments, essaient davantage de respecter leur budget et conservent leur véhicule plus longtemps, car la hausse des prix de l'essence et des aliments pèse sur les budgets des ménages, dans toutes les provinces, selon l'indice RBC (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre) des perspectives de consommation au Canada établi trimestriellement et dont les résultats ont été publiés aujourd'hui

Confrontés à une augmentation de 29,5 pour cent du prix de l'essence en mai - la plus forte hausse depuis septembre 2005 - et de 4,2 pour cent des prix des aliments, également en mai, les consommateurs canadiens réagissent avec beaucoup de pragmatisme. Voici leurs trois grandes solutions (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre) :

  • Comparer les prix des aliments plus qu'avant (55 pour cent)
  • Respecter leur budget plus qu'avant et faire moins d'achats impulsifs (48 pour cent)
  • Utiliser moins leur véhicule, faire moins de déplacement et utiliser davantage les transports en commun ou marcher davantage (29 pour cent).

L'évolution des facteurs économiques affecte aussi fortement les projets de vacances et les achats de nouveaux véhicules (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre). Près du tiers (30 pour cent) des Canadiens disent qu'il est plus probable qu'ils reporteront leurs projets de vacances jusqu'en 2012 et un nombre presque identique (31 pour cent) déclarent qu'ils reporteront l'acquisition d'un nouveau véhicule et conserveront leur véhicule actuel plus longtemps qu'en temps normal

Par ailleurs, les Canadiens estiment à 13 058 $ leurs dettes personnelles moyennes (ce chiffre ne comprend pas les prêts hypothécaires). Ils sont aussi moins nombreux qu'au trimestre précédent à être convaincus de bien gérer leurs dettes (30 pour cent contre 38 pour cent). Réduire leurs dettes (32 pour cent) vient en-tête des mesures qu'ils prévoient de prendre cette année pour assainir leurs finances personnelles, suivi de la baisse des dépenses (28 pour cent) et d'une augmentation de leur épargne ou investissements (24 pour cent) ; 21 pour cent disent qu'ils prendront toutes ces mesures (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre).

« Les Canadiens continuent de se concentrer sur la gestion de leurs dettes - un très bon signe alors que nous entamons le deuxième semestre de l'année, a déclaré Richard Goyder, vice-président, Prêts personnels, RBC. Il est encourageant de constater que les consommateurs essaient de vivre selon leurs moyens et qu'ils cherchent aussi des moyens très pragmatiques non seulement de régler leurs factures, mais aussi d'épargner et d'investir. Des conseils financiers peuvent être une excellente source d'idées pour aider les Canadiens à respecter ces très bonnes intentions financières. »

Quatre Canadiens sur dix (39 pour cent) prévoient que leur situation financière personnelle s'améliorera l'an prochain, tandis qu'un nombre comparable (42 pour cent) croient que l'économie nationale s'améliorera au cours de la même période.

Les plus récentes Perspectives économiques (ouvre un nouvelle fenêtre) des Services économiques RBC prévoient également une croissance positive tout au long de 2012.

« Nous prévoyons que, dans l'ensemble, l'économie canadienne progressera à un rythme respectable au cours des deux prochaines années, a expliqué Craig Wright, premier vice-président et économiste en chef, RBC. Soutenue par la poursuite de la reprise économique prévue pour les États-Unis, l'économie canadienne devrait progresser de 3,2 pour cent en 2011 et de 3,1 pour cent en 2012. »

L'indice RBC des perspectives de consommation au Canada, le plus complet en son genre, examine les perceptions des consommateurs canadiens à l'égard de l'économie, de leur situation financière et de leurs intentions d'achat. Voici quelques autres faits saillants (ouvre un document PDF dans une nouvelle fenêtre) tirés de l'indice RBC des perspectives de consommation au Canada :

  • Indice RBC des perspectives de consommation au Canada : Dans l'ensemble, l'indice est de 94 points, une baisse de deux points par rapport à avril 2011.

  • Économie nationale - perspectives par région : Les Albertains sont les plus nombreux (59 pour cent) à croire que l'économie canadienne s'améliorera au cours de la prochaine année. Viennent ensuite les résidents de la Saskatchewan et du Manitoba (46 pour cent), de la Colombie-Britannique (46 pour cent), de l'Ontario (44 pour cent), des provinces de l'Atlantique (41 pour cent) et du Québec (27 pour cent). Pour l'ensemble du pays, 42 pour cent des Canadiens anticipent une amélioration de l'économie nationale l'an prochain.

  • Situation financière personnelle - perspectives par région : Les résidents de l'Alberta et de la Saskatchewan et du Manitoba sont ceux qui croient le plus que leur situation financière personnelle s'améliorera au cours de la prochaine année (47 et 41 pour cent, respectivement). Ils sont suivis des résidents de la Colombie-Britannique et de l'Ontario (38 pour cent dans ces deux régions), des provinces de l'Atlantique (37 pour cent) et du Québec (36 pour cent). La proportion de Canadiens qui croient que leur situation financière personnelle s'améliorera au cours de la prochaine année est de 39 %.

  • Craintes à l'égard de l'emploi - perspectives par région : Ce sont les résidents de l'Ontario (27 %) qui craignent le plus des pertes d'emploi ou des mises à pied au cours de la prochaine année. Cette proportion est moindre chez les résidents de l'Alberta (20 pour cent), des provinces de l'Atlantique, du Québec et de la Colombie-Britannique (18 pour cent dans ces trois régions) et de la Saskatchewan et du Manitoba (16 pour cent). Pour l'ensemble du pays, 22 pour cent des Canadiens expriment des craintes à l'égard de l'emploi.

Les outils interactifs de gestion des dettes et de prestation d'autres conseils financiers de RBC
Le nouvel outil en ligne maGestionFinancière (ouvre un nouvelle fenêtre) de RBC permet à tous les particuliers clients de RBC Banque en direct (ouvre un nouvelle fenêtre) d'établir un budget et de faire le suivi de leurs habitudes de consommation, sans frais. Que les Canadiens souhaitent bénéficier de meilleurs services bancaires courants (ouvre un nouvelle fenêtre), protéger ce qui compte pour eux, épargner et investir, emprunter en toute confiance ou prendre leurs affaires en main, le Centre d'expertise RBC (ouvre un nouvelle fenêtre) peut répondre à leurs questions. Les calculatrices et outils interactifs qu'on y trouve permettent d'obtenir une information personnalisée couvrant bon nombre de questions touchant les finances personnelles. La gamme de vidéos qui y sont accessibles est revue périodiquement afin d'assurer qu'elle reflète en tout temps les tendances et aborde les sujets d'intérêt pour les Canadiens. Les conseillers de RBC, qui sont disponibles pour clavarder en direct, offrent aux Canadiens des conseils professionnels gratuits et sans obligation au sujet des produits et services de RBC, ainsi qu'un service personnalisé. Renseignements complémentaires : www.centredexpertiserbc.com (ouvre un nouvelle fenêtre).

L'indice mensuel RBC des perspectives de consommation au Canada
L'indice RBC des perspectives de consommation au Canada, dont les données sont comparées aux données de novembre 2009, s'appuie sur les résultats d'un sondage en ligne réalisé par l'intermédiaire du site Ipsos Je-Dis (panel national d'Ipsos Reid) réalisé entre le 9 et le 14 juin 2011 auprès de 4 008 Canadiens (671 personnes en Colombie-Britannique, 591 en Alberta, 464 en Saskatchewan et au Manitoba, 1 099 en Ontario, 564 au Québec et 619 dans les provinces de l'Atlantique). Les résultats proviennent d'un échantillon établi selon la méthode des quotas pondérés afin d'assurer que sa composition reflète celle de la population du Canada selon les données du dernier recensement, et de fournir un échantillon probabiliste approximatif. Un échantillon aléatoire non pondéré de cette taille avec un taux de réponse de 100 % aurait une marge d'erreur de ± 1,65 %, 19 fois sur 20, par rapport au résultat que l'on aurait obtenu si l'ensemble de la population adulte canadienne avait été consultée.

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Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec :
Claude Lussier,
Affaires publiques de RBC, 514 874-5919

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