À propos de RBC > Salle de presse > Communiqués > Les Canadiens ne croient plus en une amélioration à court terme de l'économie nationale, selon l'indice RBC des perspectives de consommation au Canada
TORONTO, le 9 février 2012 Les Canadiens ne croient pas que l'état de l'économie nationale ou leur propre situation financière s'améliorera dans un proche avenir, selon le dernier indice RBC des perspectives de consommation au Canada , publié aujourd'hui.
Un peu moins du tiers (32 %) des Canadiens se disent confiants en ce qui a trait à une amélioration de l'état de l'économie nationale pendant la prochaine année. Cette proportion est en baisse comparativement à 43 % en janvier 2011 et à 56 % en janvier 2010. En outre, seulement 36 % des Canadiens croient que leur situation financière personnelle s'améliorera, comparativement à 38 % en 2011 et à 45 % en 2010.
Selon l'indice RBC, bien que les Canadiens, dans l'ensemble, aient réduit leur endettement (à l'exception des emprunts hypothécaires), plus de la moitié (57 %) n'a pas de fonds d'urgence ou de réserves pour les temps difficiles, une proportion inchangée depuis le dernier trimestre. Le montant des dettes personnelles des Canadiens est passé à 11 729 $. Il était de 13 020 $ au dernier trimestre. De plus, comparativement à la même période l'an dernier, 46 % des Canadiens estiment qu'ils « font du sur-place » en ce qui a trait à leur situation financière personnelle.
Les consommateurs canadiens prennent des mesures en vue d'améliorer l'état de leurs finances personnelles. Au cours de la prochaine année, près d'un sur trois (31 %) a l'intention de réduire ses dettes et de dépenser moins, 22 % prévoient épargner ou investir davantage, et 23 % ont l'intention de prendre toutes ces mesures.
« Il est encourageant de constater que les Canadiens cherchent des façons de mieux gérer leurs finances, ce qui est primordial compte tenu du contexte économique actuel, a déclaré Dave McKay, chef de groupe, Services bancaires canadiens, RBC. Réduire ses dettes est un excellent objectif, mais il est également important d'épargner pour les imprévus. Un planificateur financier pourra vous aider à concilier les dépenses courantes, l'épargne et la constitution de réserves en cas d'imprévus. »
Les craintes à l'égard de l'emploi ont légèrement augmenté au pays depuis un an (21 % par rapport à 20 %), et près du tiers des Canadiens (30 %) affirment qu'ils seraient prêts à déménager ailleurs au pays ou dans une autre ville ou région pour conserver leur emploi actuel, pour obtenir une promotion, pour changer de carrière ou pour trouver un nouvel emploi.
La moitié (50 %) des Canadiens croient qu'actuellement, c'est l'Alberta qui crée le plus d'emplois au Canada, suivie de l'Ontario (22 %), de la Saskatchewan (9 %), de la Colombie-Britannique (7 %) et du Québec (6 %).
« Les perspectives d'emploi au Canada sont de plus en plus préoccupantes, a expliqué Craig Wright, premier vice-président et économiste en chef, RBC. Le Canada a amorcé les deux dernières années sur une note très positive en matière d'emploi, mais la situation s'est détériorée en fin d'année. Malheureusement, la faiblesse du marché de l'emploi enregistrée à la fin de 2011 se poursuit en ce début de 2012. Cette situation, de même que l'incertitude persistante en ce qui concerne les économies américaine et européennes, nous amène à rester prudents quant aux perspectives pour 2012. »
L'indice RBC des perspectives de consommation au Canada, le plus complet en son genre, examine les perceptions des consommateurs canadiens à l'égard de l'économie, de leur situation financière personnelle et de leurs intentions d'achat. Voici quelques autres faits saillants à l'échelle nationale tirés de l'indice de février 2012 :
Il est possible d'obtenir les communiqués national et régionaux sur l'indice RBC des perspectives de consommation au Canada, de même que les tableaux de données comparatives connexes, sur le site rbc.com/nouvelles/news/2012/20120209-cdn-consumer.html .
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Que les Canadiens souhaitent bénéficier de meilleurs services bancaires courants , protéger ce qui compte pour eux, épargner et investir, emprunter en toute confiance ou prendre leurs affaires en main, le Centre d'expertise RBC peut répondre à leurs questions. Les calculatrices et outils interactifs qu'on y trouve, notamment le Plan de réduction de dettes et la Calculatrice de consolidation de dette , permettent d'obtenir une information personnalisée couvrant bon nombre de questions touchant les finances personnelles. Les conseillers de RBC, qui sont disponibles pour clavarder en direct, offrent aux Canadiens des conseils professionnels gratuits et sans obligation au sujet des produits et services de RBC, ainsi qu'un service personnalisé. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site www.centredexpertiserbc.com . De plus, maGestionFinancière , un outil de gestion financière en ligne complet, offre aux particuliers clients de RBC Banque en direct la possibilité d'établir un budget et de faire le suivi de leurs habitudes de consommation, sans frais, et d'accéder aux applications fiscales de H&R Block au moyen du nouvel outil monCentre fiscal , pour les aider à gérer et à planifier leurs impôts.
L'indice mensuel RBC des perspectives de consommation au Canada
L'indice mensuel RBC des perspectives de consommation au Canada, dont les données sont comparées aux données de novembre 2009, s'appuie sur les résultats d'un sondage en ligne réalisé par l'intermédiaire du site Ipsos Je-Dis, panel en ligne national d'Ipsos Reid. Les données ont été recueillies entre le 9 et le 16 janvier 2012, au moyen d'un sondage réalisé auprès de 4 479 Canadiens (490 en Colombie-Britannique, 498 en Alberta, 538 dans la région Saskatchewan/Manitoba, 1 395 en Ontario, 921 au Québec et 635 dans la région des Provinces de l'Atlantique). L'échantillon est établi selon la méthode des quotas pondérés afin d'assurer que sa composition reflète celle de la population du Canada selon les données du dernier recensement, et de fournir un échantillon probabiliste approximatif. Un échantillon aléatoire non pondéré de cette taille avec un taux de réponse de 100 % aurait une marge d'erreur de ± 1,65 %, 19 fois sur 20, par rapport au résultat que l'on aurait obtenu si l'ensemble de la population adulte canadienne avait été consultée.
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Kathy Bevan, Communications, RBC, 416 974-2727, kathy.bevan@rbc.com
Raymond Chouinard, Communications, RBC, 514 874-6556, raymond.chouinard@rbc.com