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RBC se classe parmi « les 50 chefs de file en matière
de climat » dans le monde entier
TORONTO, 20 juillet 2004 - RBC Groupe Financier (RBC)
est reconnue, avec 50 autres grandes sociétés
du monde entier, comme un « chef de file en matière
de climat » pour la position et les mesures qu'elle a
adoptées face aux risques liés au changement
climatique. Le classement est une initiative du « Carbon
Disclosure Project » (CDP), un projet parrainé
par 95 grands investisseurs institutionnels - comprenant notamment
le Régime de retraite des enseignantes et enseignants
de l'Ontario, Fonds CI, UBS et Merrill Lynch - qui, ensemble,
gèrent plus de 10 billions de dollars d'actif. Ces
investisseurs institutionnels veulent tous connaître
le niveau auquel les grandes sociétés sont exposées
aux risques liés à l'évolution du climat
et les mesures qu'elles prennent pour les gérer.
Le CDP a envoyé des demandes d'informations pour 2002
et 2003 aux 500 sociétés les plus importantes
du monde par leur capitalisation boursière. Le projet
évalue la gouvernance des sociétés et
leurs stratégies relatives aux changements climatiques,
leur capacité à mesurer et à réduire
leurs émissions de gaz à effet de serre ainsi
qu'à évaluer les coûts financiers et concurrentiels
et les avantages de leurs stratégies.
En plus de désigner RBC chef de file en matière
de climat, le rapport 2003 du CDC classe RBC comme un chef
de file mondial dans le secteur bancaire et proclame que RBC
fait « preuve d'un degré supérieur de sensibilisation
aux risques et occasions liés aux changements climatiques
».
Dans le secteur bancaire, les risques liés au changement
climatique sont associés au crédit accordé
à certaines industries énergivores et axées
sur les ressources naturelles, ainsi qu'aux coûts de
l'énergie dans le secteur de l'immobilier commercial.
Les résultats les plus récents du sondage du
CDP reconnaissent les efforts faits par RBC sur plusieurs
fronts : établissement d'une stratégie visant
à intégrer le risque d'émission de gaz
carbonique dans ses évaluations des risques des emprunteurs,
la création d'un portefeuille de sociétés
productrices d'énergies de remplacement, qui comprend
plus de vingt parcs d'éoliennes, un fond de 50 millions
de dollars pour la mise au point de technologies pour les
énergies de remplacement et la mise en œuvre,
pour son parc immobilier, de programmes d'achat de produits
économes en énergie et utilisant de l'énergie
verte.
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