Selon une étude de RBC, les caractéristiques
écoénergétiques d’une résidence
sont l’un des principaux éléments que prendront
en considération les acheteurs potentiels cette année
TORONTO, le 25 mars 2009 — Selon la 16e enquête
annuelle sur les tendances du marché résidentiel
de RBC, la quasi-totalité des Canadiens (95 %) a dit
qu'une faible consommation énergétique constitue
un facteur important à prendre en considération
à l'achat d'une résidence. Mentionnée
par 94 % des répondants, l'efficacité énergétique
est jugée aussi importante que l'apparence de la propriété
dans la décision d'achat.
« Notre enquête indique que cette année,
les faibles taux d'intérêt et les prix avantageux
des propriétés auront une incidence certaine
sur les intentions d'achat, a déclaré Karen
Leggett, chef, Financement sur valeur nette immobilière,
RBC Banque Royale. Toutefois, compte tenu de la conjoncture
économique, on remarque également que nombre
de Canadiens sont de plus en plus conscients des avantages
que présentent certaines caractéristiques des
propriétés qui, à long terme, contribueront
à réduire leurs coûts énergétiques
mensuels. »
Parmi ceux qui prévoient acheter une résidence
au cours des deux prochaines années, une très
forte proportion (93 %) appuie un tarif énergétique
normalisé pour toutes les résidences et les
trois quarts (77 %) croient que les caractéristiques
écoénergétiques sont un facteur important
à prendre en considération à l'achat
d'une propriété.
Opter pour une résidence plus petite est un choix
de plus en plus populaire auprès des propriétaires
potentiels. En effet, 27 % d'entre eux ont l'intention d'acheter
une résidence plus petite au cours des deux prochaines
années, une forte hausse comparativement à 19 % en 2008 et à 14 % il y a dix ans. En dépit
de cette tendance, cependant, parmi les Canadiens qui prévoient
acheter une résidence, la majorité (68 %) préfère
les maisons isolées. Toutefois, ils privilégient
les appartements en copropriété et les lofts
(12 %) par rapport aux maisons en rangée (8 %) et aux
maisons jumelées (6 %).
« Que vous décidiez d'acheter une résidence
plus petite ou d'améliorer l'efficacité énergétique
de votre maison, il existe, pour les Canadiens, plusieurs
façons d'économiser. Vous pourriez, par exemple,
faire effectuer une vérification énergétique
de votre propriété. RBC offre aux titulaires
de son hypothèque Écoénergie un rabais
de 300 $ sur une telle vérification », a ajouté
Mme Leggett.
L'hypothèque Écoénergie RBC offre des
outils et conseils financiers permettant aux propriétaires
canadiens de déterminer quelles options leur procureront
le meilleur rendement sur leur investissement, en tirant parti
d'une réduction de leurs coûts en énergie
et en services publics, tout comme d'une augmentation de la
valeur de revente de leur propriété. Pour obtenir
de plus amples renseignements, veuillez consulter le site
www.rbcbanqueroyale.com/renovation/eco-renovation.
De plus, RBC est un fier commanditaire de Now House, qui
fait partie de l'initiative de maisons de démonstration
durables EQuilibriumMC de la Société canadienne
d'hypothèques et de logement. Conçue pour produire
autant d'énergie qu'elle en consomme, la maison Now House reprend les caractéristiques des maisons bâties
pendant la Deuxième Guerre mondiale, il y a 60 ans.
Elle comprend des technologies de construction durable comme
une meilleure isolation, la réduction des fuites d'air,
de nouvelles fenêtres, des planchers chauffants et des
panneaux solaires. C'est un véritable exemple de la
façon dont on peut transformer une maison ordinaire
afin d'augmenter son rendement énergétique et
de réduire sa consommation d'eau. Pour en savoir plus
sur la maison Now House, veuillez consulter le site www.rbcbanqueroyale.com/renovation/now-house.
Ce ne sont là que quelques-unes des conclusions d'un
sondage RBC mené par Ipsos Reid entre les 6 et 9 janvier
2009. Le sondage en ligne a été réalisé
à partir d'un échantillon aléatoire de
2 026 Canadiens d'âge adulte. Avec un échantillon
de cette taille, les résultats sont considérés
comme précis à ± 2,2 points de pourcentage
près, 19 fois sur 20, comparativement à ce qu'ils
auraient été si l'ensemble de la population
canadienne avait été consultée. La marge
d'erreur est plus grande par région ou sous groupe
de la population sondée. Ces données ont été
pondérées statistiquement pour assurer que la
composition de l'échantillon, par région et
par âge et sexe, reflète celle de la population
canadienne d'après les données du recensement
de 2006.
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Personnes-ressources, médias :
RBC
Raymond Chouinard, 514 874-6556
Ipsos Reid
Sean Simpson, 416 572-4474
Pour obtenir le tableau complet des résultats, veuillez
consulter le site Web d'Ipsos Reid, à l'adresse suivante
: www.ipsos.ca.
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