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Notre Histoire

 

On dit que pour savoir où l’on va il faut savoir d’où l’on vient.

Que ce soit en nous souvenant de nos collègues, de nos innovations ou de la façon dont nous avons à une certaine époque exercé nos activités, il importe que nous sachions comment nous sommes parvenus là où nous sommes aujourd’hui.

C’est ce qui donne toute sa valeur au Service central des archives.

Le Service central des archives est le gardien de la mémoire de RBC. Outre des milliers de documents, de photos et de souvenirs, on y trouve des biens historiques de la société, comme des bureaux et des machines devenus des antiquités.

Mais encore faut-il savoir retrouver ces documents et relater leur histoire. Beth Kirkwood, archiviste en chef de RBC, la raconte comme peu de gens savent le faire.

Voici donc quelques pans de notre passé…

Innover pour mieux servir

Il est beaucoup question d’innovation de nos jours. Le concept n’a cependant rien de nouveau à RBC.

«Dans les années 50, l’un des principaux ennuis avec les banques était leurs files d’attente», explique Mme Kirkwood. C’était avant l’arrivée du dépôt direct. Le jour de la paie, les gens se présentaient donc à la banque pour encaisser leur chèque. «Les banquiers devaient trouver des façons de mieux servir leurs clients et de réduire le temps d’attente. C’est à cette époque que le compteur de monnaie a vu le jour.»

Voici comment cela fonctionnait.

Pour un chèque de 92,92 $, au lieu de compter les 92 cents, la caissière n’avait qu’à appuyer sur les boutons du compteur pour que la machine distribue automatiquement les pièces. Cela réduisait le temps de comptage et éliminait aussi le risque d’erreur de la caissière.

«C’est une des façons dont nous avons amélioré notre service à la clientèle», dit-elle.

Conquérir de nouveaux marchés

RBC a à son actif de multiples « premières ». Au début du XXe siècle, elle a voulu être la première banque à s’établir dans les localités minières et les nouvelles régions.

Cependant, les peuplements étaient souvent si récents que le chemin de fer ne s’y rendait pas. Les banquiers se déplaçaient donc jusqu’à ces endroits comme ils le pouvaient.

« Les hommes emportaient tout ce qu’ils pouvaient transporter, ainsi que de l’argent et un coffre-fort en bois. Ils installaient une enseigne de la banque là où ils le pouvaient – dans un bar ou un bureau de poste. Il y a même l’histoire d’un gérant de banque qui dormait sur une meule de foin », dit Mme Kirkwood.

Ces banquiers étaient animés par la conviction qu’ils devaient faire tout ce qu’il fallait pour bâtir l’entreprise et servir les clients.

En avance sur son temps

Les archives centrales de RBC renferment une tirelire au passé particulièrement riche de sens. Elle provient de la Traders Bank of Canada, que la Banque Royale a acquise en 1912. Il s’agit d’une tirelire en fonte fabriquée vers 1891 sur le modèle du siège social de la Traders Bank.

«Beaucoup de clients étaient des fermiers des régions rurales qui ne pouvaient pas se rendre en ville pour leurs opérations bancaires», explique Mme Kirkwood.

«La succursale envoyait un homme, avec une voiture et un cheval, pour remettre une tirelire à chaque ferme. La tirelire était verrouillée et munie de fentes sur le dessus, dans lesquelles le fermier, sa femme et leurs employés pouvaient déposer de l’argent séparément, dit Mme Kirkwood. Un employé de la banque passait ensuite pour ramasser les tirelires et rapporter l’argent à la succursale. Le numéro de compte de chaque personne était inscrit à l’intérieur de chaque compartiment, de sorte que la succursale savait à qui appartenait l’argent.»

Les services bancaires mobiles n’ont donc rien de nouveau… Nous en offrons depuis plus d’un siècle déjà!

Maître stratège

L’actif le plus précieux de toute entreprise est bien sûr son personnel. Edson Loy Pease, ancien président de RBC, a été à l’origine de changements profonds à la banque.

C’est notamment à lui qu’on doit le changement de nom de 1901 – de Merchants’ Bank of Halifax, à consonance régionale, à l’appellation plus englobante de Banque Royale du Canada. Il est aussi à l’origine du déménagement du siège social de Halifax, à Montréal en 1907.

«Edson Pease est reconnu comme le maître à penser de notre stratégie d’acquisition du début du XXe siècle, qui a fait de notre institution la plus grande banque du Canada», dit Mme Kirkwood.

L’avenir

Il est intéressant de regarder le chemin parcouru et de voir combien le secteur bancaire a progressé au cours du dernier siècle.

Qu’est-ce que l’avenir réserve à RBC?

Le temps nous le dira. Et les archives centrales seront là pour rendre compte de notre histoire, afin que les générations futures sachent tout des innovations et des progrès qu’auront faits les employés d’aujourd’hui et ceux qui les ont précédés.

Vous avez des histoires à raconter à propos de RBC ? Courriel : keepingintoucheditor@rbc.com

Pour lire d’autres faits historiques sur RBC, consultez la section Au cœur de l’action du site Web www.rbc.com/histoire

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11/28/2011 14:45:50